The artist blurs the boundary between abstraction and figuration, transforming her canvases into a journey that invites us to explore the world she depicts. Energized by black lines and tactile materials like leather, her broad color fields seem to be held back only by the edges of the canvas, suggesting a world that extends beyond the frame. The synthesis of color, form, and texture echoes the pioneering theories of Wassily Kandinsky, which has had a decisive influence on her work
Sheila Fuseini, (1983, Accra) vit et travaille à Tema, (Accra), Ghana
Titulaire d’un baccalauréat en beaux-arts (BFA) de l’Université des sciences et technologies Kwame Nkrumah (2010), dans le cadre du programme Peinture et Sculpture. Sheila Fuseini vit et travaille à Tema, près d’Accra et du Golfe de Guinée. Ses expositions récentes incluent : 2024, All that is hidden and whole, group show, The African Art Hub, Taah, 1-54, Marrakech, 8 – 11 février ; Threads of identity layers of meaning,curators: Zahra Faye, Sally Polley, 12.04.2024 ;Traversée, une cartographie émotionnelle, 20. 04 – 20. 05, « Pour l’art pour l’Afrique », 14 mai – 2 juin.
Composé de façon abstraite, l’oeuvre de Sheila Fuseini ne se limite pas à cette lecture strictement formaliste. Le réseau de lignes fluides qui innervent la composition détermine de grands aplats de bleu, de vert, de roses subtils, de tons gris ocres et bruns qui s’équilibrent avec l’éclat des oranges et des rouges. Dans les espaces géométriques déterminés par les tracés, losanges ou triangles s’inversent, se chevauchent, inscrivant sans hiérarchie quelques éléments figuratifs, rencontres imprévisibles d’une maison ayant la même valeur qu’une feuille.
Allusion au monde qui l’entoure, indication topographique, Ils instaurent une approche nouvelle, sorte de kaléidoscope invitant le regard à glisser d’un espace à l’autre.conçoit l’espace de ses toiles comme un voyage, nous invitant à partager le monde qu’elle dépeint.
Les dernières oeuvres sont inspirées par le changement climatique au Ghana qui a provoqué une inondation des barrages ‘Akosombo et de Kpong, tous deux situés sur la Volta. ce qui a obligé la « Volta River River Authority » (VRA) à déverser une partie de l’eau pour protéger les barrages provoquant l’inondation des villages voisins.
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